Citation Vertus
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La vertu est difficile à découvrir ; elle demande quelqu’un qui la dirige et la guide, les vices s’apprennent même sans maître.
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La vertu, l’éthique ne consistent pas dans la répétition du bien. Toute vertu cesse d’en être une dès qu’elle devient mécanique.
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Il est difficile d’être toujours juste, vrai, bon, fidèle, vertueux. Nous chutons parfois et avons du mal à mettre en acte nos principes.
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Avoir de la vertu, c’est savoir bien faire sans que l’inclination nous y porte et s’abstenir de faire mal quoique la passion nous y pousse.
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Le soleil est moins éclatant, lorsqu’il reparaît après des jours d’orage, que la vertu qui triomphe d’une longue et envieuse persécution.
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N’est-ce pas le caractère de l’homme extrêmement vertueux que d’être oublié ou méconnu des hommes et de ne pas s’en exaspérer ?
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Il ne suffit pas d’être sublime, il faut encore empêcher que ça se remarque. La gentillesse est le tour de force qui fait pardonner la vertu.
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Notre grande erreur est d’essayer d’obtenir de chacun en particulier les vertus qu’il n’a pas, et de négliger de cultiver celles qu’il possède.
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La seule vertu c’est d’aider les autres. Il n’existe pas d’autre vertu. Le seul péché, c’est de blesser les autres. Il n’existe pas d’autre péché.
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La vertu parfaite consiste à se rendre capable de pratiquer cinq choses sous le ciel : déférence, grandeur d’âme, honnêteté, diligence et générosité.
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Un homme pleinement vertueux s’applique à mettre en pratique tout ce qui attire le respect, et permet en cela une bonne harmonie entre tous les états.
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Les choses qu’on regarde comme des revers exercent, affermissent et augmentent la vertu ; sans elles, il n’est pas possible d’être un homme de mérite.
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Nous n’accordons pas de valeur particulière à la possession d’une vertu jusqu’à ce que nous percevions que notre adversaire en manque complètement.
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Quand vous rencontrez un homme vertueux, cherchez à l’égaler. Quand vous rencontrez un homme dénué de vertu, examinez vos propres manquements.
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L’homme de bien chérit la vertu, l’homme de peu les biens matériels. L’homme de bien porte en lui le sens de la loi, l’homme de peu ne pense qu’aux privilèges.
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Si la multitude des connaissances est bonne, ce qui finalement vaut le mieux dans l’homme, c’est la vertu, et la vertu est susceptible de s’allier parfois avec l’ignorance.
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La vertu qui ne cherche plus que le bien est toujours égale, douce, affable, compatissante ; elle n’est surprise ni choquée de rien ; elle prend tout sur elle, et ne songe qu’à faire du bien.