Citation Jugements

Ne pas se moquer, ne pas déplorer, ne pas détester, mais comprendre.

Ne te hâte pas de juger et de condamner. Mais hâte-toi de comprendre.

Avant de juger, il faut comprendre et quand on a compris, on n’a plus envie de juger.

Entendre, comprendre, juger : trois opérations de l’esprit aussi distinctes que différentes.

Les jugements que nous portons sur les autres sont l’expression tragique de nos besoins non satisfaits.

Il ne faut jamais juger le comportement d’une personne qui traverse des difficultés, car un jour ça peut nous arriver.

L’homme souhaite un monde où le Bien et le Mal soient nettement discernables, car est en lui le désir inné et indomptable, de juger avant de comprendre.

Tout jugement se révèle à la fin être un jugement de soi-même. Et lorsque cela est compris, une plus grande compréhension de la nature de la vie prend place.

Il est important d’y penser lorsque l’on est prêt à critiquer ou à juger une autre personne. Il faut se demander pourquoi on le fait, et essayer de savoir ce qui nous dérange vraiment au fond.

Le sage observe les autres, mais il les observe avec sagesse, pas avec ignorance. Si on observe avec sagesse, on peut apprendre beaucoup. Mais si on observe avec ignorance, on juge et on critique.

Plus on juge, moins on aime.

Rien n’est pire qu’un faux jugement sur quelqu’un.

Tout regard est un jugement : efforce-toi de voir clair.

Tous les jours, à chaque heure, l’homme est soumis au jugement.

Ce n’est pas l’histoire qui fait le jugement : c’est le jugement qui fait l’histoire.

Il est assez stérile d’étiqueter les gens et de les presser dans des catégories.

Quoi que nous fassions les autres nous jugent, alors autant être nous-même.

Chacun de nos jugements ralentit notre quête d’une vie harmonieuse et heureuse.

Ce que je pense sur un homme n’est pas fonction de ce que cet homme pense sur moi.

Le jugement est la chose qui empêche la connaissance et qui limite la réceptivité à la vérité.

Quand vous jugez les autres, vous ne les définissez pas, vous vous définissez vous-mêmes.

Si vous préservez votre esprit de tout jugement et n’êtes pas esclave de vos sens, votre cœur trouvera la paix.

Ce n’est pas ce que les hommes sont qui influe sur notre bonheur, c’est le jugement que nous portons sur eux.

En se préoccupant souvent de la manière de penser, de vivre, de juger des autres, on se met sous leur dépendance.

Il n'y a point encore de liberté si la puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice.

Un juge habitué est un juge mort pour la justice.

Les délinquants font moins de mal qu’un mauvais juge.

Le plus haut des tourments humains est d’être jugé sans loi.

Le bon juge ne sera pas un jeune homme, il faut qu’il soit vieux et qu’il ait acquis une connaissance de l’injustice.

De la réflexion naît le jugement.

Qui juge lentement juge sûrement.

Évitons de juger les autres sur nos propres critères étroits.

Avant d’avoir entendu les deux parties, on ne saurait juger.

Réfléchir c’est difficile, c’est pourquoi la plupart des gens jugent.

Pour juger le monde, il faut le voir de loin et l’avoir beaucoup vu de près.

Le bon jugement vient de l’expérience et l’expérience vient du mauvais jugement.

Ce n’est que grâce aux difficultés que nous pouvons juger de la vraie trempe d’un être.

C’est une chance que d’avoir devant soi assez de temps pour pouvoir réviser ses jugements.

Il faut, quand on agit, se conformer aux règles, et quand on juge, avoir égard aux exceptions.

Les hommes appelés à en juger d’autres devraient avoir fait un stage de deux ou trois mois en prison.