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Citation de Honoré de Balzac

Frases de Honoré de Balzac

Est un écrivain français.

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  • Sentir, aimer, souffrir, se dévouer, sera toujours le texte de la vie des femmes.


  • A Paris, il y a des impôts sur tout, on y vend tout, on y fabrique tout, même le succès.


  • L'espoir est une mémoire qui désire.


  • Croyez-le, le véritable amour est éternel, infini, toujours semblable à lui- même ; il est égal et pur, sans démonstrations violentes ; il se voit en cheveux blancs, toujours jeune de coeur.


  • a tristesse et la gaieté sont les deux seules affections de l'homme. — Tout s'y rapporte.


  • La gourmandise, le péché des moines vertueux.


  • Chaque nuit doit avoir son menu.


  • Le sort d'un ménage dépend de la première nuit.


  • Quand il y a une vieille fille dans une maison, les chiens de garde sont inutiles.


  • Nous ne mourons pas, nous autres chrétiens : notre tombe est le berceau de notre âme.


  • Le malheur est un marchepied pour le génie, une piscine pour le chrétien, un trésor pour l'homme habile, pour les faibles un abîme.


  • L’admiration est toujours une fatigue pour l’espèce humaine.


  • Les habitudes du jeune âge reviennent avec force dans la vieillesse de l'homme.


  • Les plus grands efforts de l'art sont toujours une timide contrefaçon des effets de la nature.


  • Même au cœur de la famille, il est toujours un moment où l'on s'observe, après une longue absence.


  • La jeunesse ressent un vif besoin d'admiration. Elle aime à s'attacher. La jeunesse est naturellement portée à se subordonner aux hommes qu'elle croit supérieurs, comme elle se dévoue aux grandes choses.


  • Quand un homme est assez heureux pour avoir une belle-mère très bien conservée, il lui est facile de la tenir pendant un certain temps en échec, pour peu qu'il connaisse quelque jeune célibataire courageux.


  • Le travail constant est la loi de l’art comme celle de la vie ; car l’art, c’est la création idéalisée.


  • Le coeur d'une mère est un abîme au fond duquel se trouve toujours un pardon.


  • En toute chose, l'on ne reçoit qu'en raison de ce que l'on donne.


  • Le mariage doit incessamment combattre un monstre qui dévore tout : l'habitude.


  • L'amour désire jusqu'à l'impossible, et sait se contenter de peu.


  • Le temps manque pour tout.


  • Ce qui rend les amitiés indissolubles et double leur charme, est un sentiment qui manque à l'amour, la certitude.


  • Le sot et le faible sont impuissants à bien juger. Ce n'est point la cause qui est la même, mais l'effet. La faiblesse du cœur et la faiblesse de la tête précipitent dans le même abîme.


  • L'imagination est comme l'abus de liberté qui dégénère si elle n'est canalisée.


  • Les personnes jalouses nagent dans l'absurde comme le poisson dans l'eau.


  • Rien n'est plus absurde que de sots préjugés.


  • Les moeurs sont l'hypocrisie des nations.


  • Les moeurs sont l'hypocrisie des nations.


  • En toute chose, l’on ne reçoit que ce que l’on donne.


  • Les tendresses absolues ont horreur de toute espèce de désaccord.


  • L’amour durable est celui qui tient toujours les forces de deux êtres en équilibre.


  • Les lois sont des toiles d’araignées à travers lesquelles passent les grosses mouches et où restent les petites.


  • Les individualités disparaissent chez un peuple nivelé par l’instruction.


  • L’amour engendre la force, et la force donne la sagesse.


  • J’étais né pour l’amour impossible, et le hasard a voulu que je fusse servi au-delà de mes souhaits.


  • L'amour est profondément égoïste, tandis que la maternité tend à multiplier nos sentiments.


  • La joie ne peut éclater que parmi des gens qui se sentent égaux.


  • L’égalité peut être un droit, mais aucune puissance humaine ne saurait la convertir en fait.