Citation Souffrance
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Vouloir écarter de sa route toute souffrance, signifie se soustraire à une part essentielle de la vie humaine.
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Celui qui a du mal devient miséreux lorsqu’il considère ses souffrances de vie comme un fardeau injustement imposé.
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La souffrance est parfois un fléau, parfois un cadeau, et qu’on peut toujours s’arranger pour qu’elle tourne du bon côté.
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Il y a autant de vrai courage à souffrir avec constance les peines de l’âme qu’à rester fixe sous la mitraille d’une batterie.
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Les gens ont du mal à se défaire de leurs souffrances. Par peur de l’inconnu, ils préfèrent les souffrances qui leur sont familières.
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La vie est parfois une longue suite de difficultés. Ce n’est pas parce que je les évite ou que je refuse d’y faire face que celles-ci disparaîtront.
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L'esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l'amitié le console.
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Ressentir du mal nous permet d’apprendre la compassion afin d’être à l’écoute des personnes qui souffrent et de leur apporter joie et réconfort.
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La souffrance nous rend égoïstes, car elle nous absorbe tout entiers. C’est plus tard, sous forme de souvenir, qu’elle nous enseigne la compassion.
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La véritable compassion est dans tous les cœurs. Mais si notre cœur n’est pas ouvert, c’est parce que nous souffrons et que nous ne voulons pas non plus voir la souffrance d’autrui.
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C’est une grande chose que de comprendre la souffrance, car lorsqu’on est libéré de la souffrance, il y a compassion.
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Aucune souffrance ne m’élève si je ne la transforme pas en tremplin. La victime se demande ce que l’épreuve lui a enlevé, le sage cherche à comprendre les leçons qu’il peut en tirer.
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La souffrance d'autrui est chose qui doit s'apprendre : et jamais elle ne peut être apprise pleinement.
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Ne disputons à personne ses souffrances ; il en est des douleurs comme des patries, chacun a la sienne.
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Combien nous pouvons faire souffrir ceux qui nous aiment et quel affreux pouvoir de mal nous avons sur eux.
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Le jour où la joie des autres devient ta joie, le jour où leur souffrance devient ta souffrance, tu peux dire que tu les aimes.
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Toutes les circonstances où les autres m’ont fait souffrir m’avertissent de ne pas provoquer chez eux les mêmes souffrances.
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Avec toutes ces souffrances autour de soi, on en vient à avoir honte d’accorder tant d’importance à soi-même et à ses états d’âme.
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Lorsque nous souffrons en silence, nous croyons être seuls, différents et séparés. Mais lorsque nous partageons nos pénibles histoires, nous découvrons que nous sommes tous semblables.
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On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu’on aime. Le mal qui vient d’un ennemi ne compte pas.