Citation Lecture

L'ennui, qui dévore les autres hommes au milieu même des délices, est inconnu à ceux qui savent s'occuper par quelque lecture. Heureux ceux qui aiment à lire.

Trop de lecture peut étouffer le génie.

Une vie sans lecture est une vie que l'on ne quitte jamais, une vie entassée, étouffée de tout ce qu'elle retient.

La lecture doit être copieuse, mais ne pas s'éparpiller sur une foule de livres.

La lecture d'un roman jette sur la vie une lumière.

La lecture, c'est sans fin. C'est comme l'amour, c'est comme l'espoir, c'est sans espoir.

Il n'est pas impossible que la prolifération des automobiles entraîne un accroissement de la lecture.

L'histoire de la lecture est celle d'une exclusion, d'une renonciation.

Il n'y a vraiment que deux choses qui puissent faire changer un être humain : un grand amour ou la lecture d'un grand livre.

Une culture qui ne favorise que l'un des deux éléments - la lecture ou la boisson - ne pourra un jour ou l'autre que s'assécher ou se noyer.

On lit comme on aime, on entre en lecture comme on tombe amoureux : par espérance, par impatience. Sous l'effet d'un désir, sous l'erreur invincible d'un tel désir : trouver le sommeil dans un seul corps, toucher au silence dans une seule phrase.

Cette frontière-là, entre les lecteurs et les autres, est plus fermée encore que celle de l'argent. Celui qui est sans argent manque de tout. Celui qui est sans lecture manque du manque.

Un des problèmes que l'on rencontre avec les techniques de lecture rapide c'est que le temps de se rendre compte qu'un livre est ennuyeux, on l'a déjà terminé.

La lecture agrandit l'âme.

La lecture est la clé de bien des évasions.

Au théâtre, la première lecture d'une pièce est souvent compliquée, voilà pourquoi il est plus simple de passer directement à la deuxième.

La plus belle des lectures c'est celle qui se trouve entre les lignes de ton coeur.

Entre le lecteur et la lecture il y a toujours ce compagnon invisible qui vous promène quelque part: c'est l'auteur.

Des lectures biens choisies m'instruisent sur l'homme et sur moi-même, sur le jeu des forces sociales, et aussi sur mon époque.

Quand une lecture vous élève l'esprit, et qu'elle vous inspire des sentiments nobles et courageux; ne cherche pas une règle pour juger l'ouvrage ; il est bon, et fait de main d'ouvrier.

La lecture devient l'extrait d'une passion lorsque celle-ci nous interroge.

La lecture épanouit l'homme, les discussions l'enrichissent.

J'aime la lecture parce que c'est la seule conversation à laquelle on peut couper court à tout instant, et dans l'instant.

Les lectures sont les véritables événements de la vie.

La lecture nourrit l'âme, comme le pain nourrit le corps.

La lecture est la forme la plus haute de la paresse.

La lecture est une victoire de l'ennui sur l'amour-propre.

La lecture est le premier instrument de la liberté et elle est la première chose à défendre.

La lecture encombre la mémoire et empêche de penser.

Que la lecture reste une porte magique sur l'imaginaire... tout en nous interrogeant sur nous, et notre univers.

Je crois que la lecture c'est une chose extraordinaire, parce que ça nous permet de vivre plus de vies que celle que nous vivons nous même, on peut avoir l'expérience de beaucoup de réalités.

La lecture est la base de l'art d'écrire.

Aucune lecture ne remplace la lecture de Montaigne.

La lecture c'est la vie sans contraire, c'est la vie épargnée.

Chacune de nos lectures laisse une graine qui germe.

La lecture est un pacte de générosité entre l'auteur et le lecteur; chacun fait confiance à l'autre, chacun compte sur l'autre, exige de l'autre autant qu'il exige de lui-même.