Citation Défaut

À ne pas vouloir corriger ses défauts, on les laisse grandir et se multiplier comme l’ivraie.

Si nous n’avions point de défauts, nous ne serions pas si aises d’en remarquer aux autres.

Faire la guerre à ses défauts, et non à ceux d’autrui, n’est-ce pas le moyen de se corriger ?

On voit difficilement les défauts des personnes qu’on aime, mais on les sent plus vivement.

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Citation Famille

Citation Rupture

Ne soyez pas aveugle des défauts d’un ami, mais ne vous posez point contre eux en ennemi.

Celui qui a les yeux ouverts sur se propres défauts verra son âme acquérir une force nouvelle.

La pauvreté est un microscope qui grossit nos défauts, la richesse est un prisme qui les colore.

Nous ne pouvons parler franchement de nos défauts qu’à ceux qui reconnaissent nos qualités.

Ne perds pas ton temps avec ceux qui refusent de reconnaître leurs défauts, et de s’en corriger.

Les petits défauts, comme les petits Etats, deviennent puissants et dangereux par leur alliance.

Chaque âge a ses défauts dont guérit un autre âge : La jeunesse est légère, et l’âge mûr est sage.

L’amitié consiste à nous faire supporter les défauts de nos amis, et non pas à nous les faire ignorer.

Sous prétexte que la perfection n’est pas de ce monde, ne gardez pas soigneusement tous vos défauts.

Les défauts des autres, souvent, nous corrigent des nôtres ; tout sert d’instruction à qui cherche à s’amender.

L’orgueil grossit tous les autres défauts, comme une parure bizarre et éclatante relève la laideur d’une personne.

En vivant continuellement ensemble, on se découvre mutuellement mille petits défauts dont on ne se doutait pas.

Les défauts des autres sont plus contagieux que préservatifs : ils nous choquent souvent et rarement nous corrigent.

Tolère les défauts des vieillards. Il est un temps où l’on ne peut se corriger ; le fer ne se redresse pas quand il est froid.

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Citation Rupture

Il y a dans certaines âmes un fonds de défauts, de vices même, qui semblent y dormir jusqu’à ce que l’occasion les réveille.

Nous sommes loin de nous douter des services que pourraient nous rendre nos défauts, si nous savions les mettre en œuvre.

Les défauts généralement qu’on signale avec fureur et mépris dans le prochain sont justement ceux dont on n’est pas exempt.

Nos défauts et nos infirmités ne sont pas ridicules en eux-mêmes, mais ridicule est l’effort que nous déployons pour les dissimuler.

Nous entendons par-dessus tout garder nos défauts, et nous nous berçons de l’illusion de croire que nous le pourrons impunément.

Nous nous attachons sans peine à ceux qui ont les mêmes défauts que nous, parce que nous n’avons pas à craindre leurs reproches.

Nous vivons avec nos défauts comme avec les odeurs que nous portons. Nous ne les sentons plus, elles n’incommodent quand même que les autres.

Les hommes ont, dans leur tempérament des défauts qui les entraînent. Les plus louables sont ceux qui ont le courage de connaître et de réparer leurs égarements.

Le remède pouvant nous écarter de la cupidité, de l’égoïsme, ou de toutes autres vices n’est pas le fait d’être conscient de ses défauts, mais de chercher à s’en débarrasser.

On se laisse reprocher ses défauts, on supporte les punitions, on souffre patiemment tous les désagréments qu’ils nous attirent ; mais nous ne pouvons nous décider à y renoncer.

Si l’on te rapporte qu’un tel dit du mal de toi, ne te défends pas contre ses propos, mais réponds ; ”C’est qu’il ignorait mes autres défauts ; sans quoi il ne se serait pas borné à ceux-là.

Qu’on entende dire du mal d’une personne, bien souvent on le croit ; du bien, parfois on en doute. Quand on s’accoutume à parler des défauts des autres, on ne fait plus attention à leurs vertus.

Le défaut des hommes ordinaires, c’est de négliger leurs propres champs et de s’occuper des champs d’autrui ; d’exiger beaucoup des autres et de ne s’imposer à eux-mêmes qu’un léger fardeau.

C’est une qualité de savoir qu’on a des défauts.

Notre plus grand défaut est celui qu’on ne corrige pas.

Personne ne nous montre nos défauts comme un ennemi.

Le pire défaut est toujours celui qu’on refuse de reconnaître.

Connaître un défaut est la première condition pour s’en débarrasser.

On ne peut pas aimer nos semblables en ayant les yeux fixés sur leurs défauts.

On ne déteste vraiment ses défauts que lorsqu’on les voit en action chez autrui.

Une fois qu’on a accepté nos défauts personne ne peut s’en servir contre nous.

Il ne suffit pas de lutter contre ses défauts. Il faut lutter aussi pour faire croître ses qualités.