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Il existe une prédilection masochiste des Français pour deux exercices dans lesquels ils se révèlent malchanceux : la guerre et le football.
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Dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant c'est avant.
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Le mariage, c'est ce qui différencie l'homme de la bête. Il ne faut pas confondre avec le rire... c'est pourtant pas la même chose !
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J'ai divisé la société en deux catégories : mes amis ou mes cons à moi et les cons des autres que je ne supporte pas.
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Depuis Adam se laissant enlever une côte jusqu'à Napoléon attendant Grouchy, toutes les grandes affaires qui ont foiré étaient basées sur la confiance.
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Moins qu'avant : la jeunesse française boit des eaux pétillantes, et les anciens combattants, des eaux de régime. Puis, surtout, il y a le whisky... C'est le drame ça, le whisky.
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Si les femmes s'occupaient de savoir d'où vient l'argent qu'elles dépensent, les bijoutiers fermeraient boutique.
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La fréquentations des salons m'a appris une chose : à ne plus chercher à acheter au coin des rues ce que l'on trouve gratuitement auprès des femmes du monde.
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On a enlevé les putains des maisons pour y installer la culture. Installons la prostitution au Louvre !
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La danse, c'est du pelotage : tout ce qu'on fait avec les pieds est parfaitement secondaire. Tout le monde s'en fout.
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