Citation Liberté

Sais-tu qu'elle ressemble beaucoup à une excuse, cette liberté dont tu te dis esclave.

Un seul oiseau en cage la liberté est en deuil.

Le nerf de la guerre, le principe de la liberté dans un état bourgeois : l'argent.

La liberté est une valeur fondamentale et universellement reconnue. Elle est souvent considérée comme la pierre angulaire de la démocratie et de la justice sociale. L'importance de la liberté ne peut être sous-estimée, car elle offre aux individus la possibilité de choisir leur propre destinée, d'explorer leurs intérêts et d'atteindre leurs objectifs. La liberté permet aux personnes d'exprimer leurs opinions et leurs croyances sans crainte de représailles ou de discrimination, ce qui encourage l'ouverture et la tolérance entre les cultures.

Un livre est un outil de liberté.

La liberté ne se donne pas, elle se prend.

Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté.

Les Français vont indistinctement au pouvoir ; ils n'aiment point la liberté ; l'égalité seule est leur idole.

Un peuple ne peut avoir le sentiment de la liberté s'il n'a pas aussi celui de la pitié.

Vieillir, c'est une liberté formidable.

Même un tyran ne bénéficie pas de la liberté d'opinion.

La liberté est le droit de faire ce que les lois permettent.

J'aime bien les amis comme j'aime bien la musique : quand je suis d'humeur ; mais une telle liberté se paye parfois d'une certaine solitude.

Dans une société fondée sur le pouvoir de l'argent, tandis que quelques poignées de riches ne savent être que des parasites, il ne peut y avoir de "liberté", réelle et véritable.

La connaissance n'est pas le pouvoir, mais elle est liberté.

La contrainte, autant que la liberté, est partie intégrante de notre identité humaine.

Loin de l'empereur, on a plus de liberté.

Le beau n'est pas dégradé pour avoir servi à la liberté et à l'amélioration des multitudes humaines.

Créer la liberté à l'intérieur de la nécessité est sans doute la moins mauvaise définition de l'amour. Qui donne sa foi conquiert sa liberté.

L'usage de la liberté devient dangereux entre des mains incompétentes.

La nécessité de rechercher le véritable bonheur est le fondement de notre liberté.

Il n'y pas de liberté. Il y a la délivrance.

La liberté, c'est de pouvoir choisir celui dont on sera l'esclave.

La mort est la seule liberté que connaisse l'esclave.

Recherchez la liberté et vous deviendrez esclave de vos désirs. Recherchez la discipline et vous trouverez la liberté.

Le modernisme est un système de complaisance. La liberté est un système de déférence. La liberté est un système de courage. La liberté est la vertu du pauvre.

La liberté devrait être le seul romantisme de l'être humain. C'est cela qui est respectable dans l'homme.

Toute société qui prétend assurer aux hommes la liberté, doit commencer par leur garantir l'existence.

La liberté pour quoi faire ?

Il faut toujours abuser de sa liberté.

Je pense à cet étrange exercice de soumission et de liberté qui consiste à persister de vouloir en sachant qu'on n'est maître ni de soi ni du monde.

La liberté consiste à choisir entre deux esclavages : l'égoïsme et la conscience. Celui qui choisit la conscience est l'homme libre.

Choisir de donner ou non la vie est une nouvelle forme de la liberté.

J'appelle innocence cette maladie de l'individualisme qui consiste à vouloir échapper aux conséquences de ses actes, cette tentative de jouir des bénéfices de la liberté sans souffrir d'aucun de ses inconvénients.

Notre âme ne peut pas mourir, la liberté ne meurt jamais.

On concède la liberté en gros pour la contraindre dans le détail.

Donner la liberté au monde par la force est une étrange entreprise pleine de chances mauvaises. En la donnant, on la retire.

La chance de la littérature, c'est d'être associée aux destins de la liberté dans le monde : elle reste une forme fondamentale de contestation et de critique de l'existence.

Quelle manie ont les hommes et les femmes de se donner et de se posséder. On n'a pas idée de donner son être, sa pensée, sa liberté.

La liberté d'aimer n'est pas moins sacrée que la liberté de penser.

La biographie est une prison. Prison des dates, des faits, des fiches. Le roman, c'est la liberté.