Citation de Reine Malouin

Pour avancer et s'accomplir dans la vie, on a besoin de croire, d'être compris, de sentir que quelqu'un a confiance en nous.

A la ville chaque individu peut accomplir son travail sans nuire à personne, comme il peut aussi l'accomplir sans servir non plus à qui que ce soit.

Le travail ne suffit pas, même à l'existence la mieux remplie. La vie personnelle et sociale a aussi ses droits et des exigences et ne peut être niée sans danger.

La vraie charité, celle qui jaillit du coeur, ne se demande jamais dans quelles mains va tomber son aumône.

La paix ! Sa recherche et sa rencontre sont dans la marche incessante vers la sagesse et le silence ; c'est une des plus grandes richesses que puisse posséder un être humain.

C'est par notre silence que nous sommes les plus coupables.

La vraie liberté consiste dans la faculté de choisir ses propres contraintes.

On désire férocement la liberté, mais c'est presque toujours pour aller vers d'autres contraintes.

La liberté ne se donne pas, elle se prend.

C'est le propre de la jeunesse de couper les liens, d'ouvrir des chemins nouveaux, de rêver de liberté.

La justice, elle n'existe pas. Il y a rêve de justice dans l'esprit de certains hommes, c'est tout.

La paix ! Sa recherche et sa rencontre sont dans la marche incessante vers la sagesse et le silence ; c'est une des plus grandes richesses que puisse posséder un être humain.

Les petits renoncements de l'enfance préparent l'adolescent à repousser les tentations qui se dressent sur son chemin. L'oubli de soi ne s'apprend pas en un jour.

La justice, elle n'existe pas. Il y a rêve de justice dans l'esprit de certains hommes, c'est tout.

La solitude est la patrie des forts.

Pour avancer et s'accomplir dans la vie, on a besoin de croire, d'être compris, de sentir que quelqu'un a confiance en nous.

Notre enfance, c'est la part la plus vraie, la plus profonde de nous-mêmes qui demande à être sauvée.

Le temps vient à bout de tout, il est la patience en action.

La mer ! Sa seule beauté attire, retient le regard et donne l'impression d'une étendue intouchée de commencement du monde, d'une puissance qui dépasse l'être humain.

C'est le propre de la jeunesse de couper les liens, d'ouvrir des chemins nouveaux, de rêver de liberté.

On ne bâtit pas sa maison avec des dictionnaires.

La nature est un temple naturel où l'esprit de l'homme peut facilement s'absorber dans sa méditation, où il peut s'imprégner de la divine douceur de sentir un instant son humanité se délivrer des exigences terrestres.

Notre enfance, c'est la part la plus vraie, la plus profonde de nous-mêmes qui demande à être sauvée.

L’action libère, l’action vivifie, l’action récompense.

Au contact de la souffrance, on ne peut faire autrement que de rencontrer sa propre humanité.