Citation Société
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La technique est moins importante que les hommes ou que la société, l'important, c'est le projet humain qui est derrière.
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Aucun progrès ne peut être acquis par une société sans passer la souffrance, et c'est là le matérialiste est désarmé.
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La société la plus barbare serait peut-être celle où, chacun étant traité à son mérite, le pauvre n'aurait même pas la ressource de s'indigner.
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La société de consommation porte mal son nom, car un con ne fait généralement pas de sommation avant de dire une connerie en société.
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L'écoute reste la grande oubliée de notre société moderne en pleine révolution des communications.
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Si la société évacue la poésie comme mode d'expression non productif, c'est peut-être que la poésie est un foyer de contestation, un acte de résistance, une incompatibilité fondamentale avec le système dominant ?
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La société la plus spirituelle n'est pas celle que les tailleurs, mais celle que les relieurs habillent.
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Au royaume des petits caractères, les microscopes sont rois. Et nous vivons, condamnés à la myopie par la loi, dans une société de notes de bas de page.
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Les amis, les relations, la société à laquelle on appartient sont des gages de succès plus certains que l'effort acharné et la compétence lentement acquise.
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Nous sommes tous en fait absolument dépendants de notre société. C'est elle qui guide notre destin.
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La comédie est une peinture de la société humaine et, quand celle-ci est empreinte de gravité, la peinture ne saurait susciter le rire.
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Au fond, si le théâtre est le miroir de la société, il n'est rien du tout : un miroir, c'est purement passif.
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La société a besoin de transgresseurs. Elle établit des lois pour qu'elles soient dépassées. Si tout un chacun respecte les règles en vigueur et se plie aux normes, c'est toute la société qui se retrouve "normale" et qui stagne.
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Etre pauvre, c'est être étranger dans son propre pays, c'est participer d'une culture radicalement différente de celle qui domine la société normale.
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Le retour à la bestialité est possible dans une société comme la nôtre. En raison de la désorganisation des mentalités, des crises d'hystéries généralisées, tout cela aggravé par les crises économiques.
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Il n'y a plus rien à enjoliver, dans une société et dans un monde où tout est constamment enjolivé de la manière la plus répugnante.
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L'intérêt et la crainte sont les principes de la société et toute la morale consiste à vivre selon notre bon plaisir.
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On ne parlerait guère en société si l'on se souvenait combien de fois on a été incapable de comprendre ce que disait les autres.
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L'homme, dans l'état actuel de la société, me paraît plus corrompu par sa raison que par ses passions.
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La société n'est-elle pas autorisée à ne jamais souffrir dans son sein celui qui se déclare contre elle ? Et l'individu qui s'isole, peut-il lutter contre tous ?
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Toujours le Social. Le contrat social, le sens social, l'avenir social, la souffrance sociale, le spectre social. Cette croyance à la Société est quand même la plus étrange qui ait jamais existé.
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Intellectuels : ils sont plutôt le déchet de la société, le déchet au sens strict, c'est-à -dire ce qui ne sert à rien, à moins qu'on ne les récupère.
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Le jeu de mots, méprisable en soi, peut être, au service d'une intention artistique, le plus noble des instruments quand il représente une idée spirituelle en raccourci. Il peut ramasser en une épigramme toute une critique de la société.