Citation de Victor Cherbuliez - Les têtus ont toujours le dernier mot.

Vivre et laisser vivre les autres, même les hommes et les idées qu’on n’aime pas, voilà le fond du libéralisme.

Il est des pas difficiles qu’on franchit à l’aide d’une main qui serre la vôtre.

Il faut croire à son bonheur.

Les consciences apprennent à la longue à respecter les consciences.

Pars dès aujourd'hui. Si sincères que soient les abandons du cœur, on se réserve toujours quelque chose ; je me suis réservé huit jours de ta vie. Pendant huit jours, tu ne seras qu'à moi, d'un dimanche à un dimanche.