Citation de Victor Hugo
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Voici comment le problème du mariage est posé : le mari attend et veut la paix, le calme plat et l'épuisement ; la femme rêve les émotions du commencement, les joies de l'âme, le mois d'avril, l'aube ! l'un veut dormir, l'autre s'éveille.
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Le mariage, tel que le catholicisme l'institue, n'est pas autre chose qu'une couture au coeur, proprement faite.
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Avec cette vente qu'on appelle la dot et ce tyran qu'on appelle l'époux, l'adultère n'est autre chose qu'une protestation de la première et de la plus sainte des libertés, la liberté d'aimer, contre l'esclavage de la femme et le despotisme du mariage.
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La femme est obligée de choisir entre acheter un homme, ce qui s'appelle le mariage, ou se vendre aux hommes, ce qui s'appelle la prostitution.
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Nous nous réveillons tous au même endroit du rêve ; Tout commence en ce monde, et tout finit ailleurs.
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J'habite un pays sombre plein de rêves profonds. Les récits de grand-mère et les signes de croix ont mis une chimère charmante, dans les bois.
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Entre la logique de la révolution et sa philosophie il y a cette différence que sa logique peut conclure à la guerre, tandis que sa philosophie ne peut aboutir qu'à la paix.
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Entre la logique de la révolution et sa philosophie il y a cette différence que sa logique peut conclure à la guerre, tandis que sa philosophie ne peut aboutir qu'à la paix.
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Entre la logique de la révolution et sa philosophie il y a cette différence que sa logique peut conclure à la guerre, tandis que sa philosophie ne peut aboutir qu'à la paix.
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Et de l'union des libertés dans la fraternité des peuples naîtra la sympathie des âmes, germe de cet immense avenir où commencera pour le genre humain la vie universelle et que l'on appellera la paix de l'Europe.
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Parler, c' est abuser ; penser, c'est usurper. La voix sert à se taire et l'esprit à ramper. Le monde est à plat ventre, et l'homme, altier naguère, Doux et souple aujourd' hui, tremble. -Paix ! dit la guerre.
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Les négateurs ne sont pas des critiques. Une haine n'est pas une intelligence. Injurier n'est pas discuter.
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On en viendra, espérons-le, à comprendre qu'une société est mal faite quand [...] la femme est maintenue sans initiative
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Dans notre société telle qu'elle est faite, les femmes subissent et souffrent ; elles ont raison de réclamer un sort meilleur.
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La société est coupable de ne pas donner l'instruction gratis ; elle répond de la nuit qu'elle produit.
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C'est une des choses les plus difficiles et les plus nécessaires de la vie que d'apprendre à dédaigner. Le dédain protège et écrase. C'est une cuirasse et une massue.
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Le meilleur du talent de l'orateur lui vient de la foule ou de l'assemblée. Pour que l'orateur soit grand et puissant, il faut que l'auditoire fasse la moitié du chemin.
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Certains hommes, législateurs, juges, philosophes, honnêtes gens, disent : nous marchons dans la justice. / - Oui, comme les voleurs dans le grand chemin.
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Quand je suis triste, je pense à vous, comme l'hiver on pense au soleil, et quand je suis gai, je pense à vous, comme en plein soleil on pense à l'ombre.
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La chute des grands hommes rend les médiocres et les petits importants. Quand le soleil décline à l'horizon, le moindre caillou fait une grande ombre et se croit quelque chose.
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Beaucoup d'amis sont comme le cadran solaire ; ils ne marquent que les heures où le soleil vous luit.
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Quand je suis triste, je pense à vous, comme l'hiver on pense au soleil, et quand je suis gai, je pense à vous, comme en plein soleil on pense à l'ombre.
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Il est effrayant de penser que cette chose qu'on a en soi, le jugement, n'est pas la justice. Le jugement, c'est le relatif. La justice, c'est l'absolu. Réfléchissez à la différence entre un juge et juste.
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Aujourd'hui, je refais ainsi la définition de la Révolution : Une grande lumière mise au service d'une grande justice.