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Citation de Friedrich Nietzsche

Frases de Friedrich Nietzsche

Était un philosophe, critique culturel et philologue allemand dont le travail a exercé une profonde influence sur l'histoire intellectuelle moderne.

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  • La jalousie qui se tait s'accroît dans le silence.


  • La connaissance est pour l'humanité un magnifique moyen de s'anéantir elle-même.


  • Quelque dévêtue qu'elle puisse être, une jolie femme ne prend jamais froid, pour peu qu'elle ait le sentiment d'être en beauté.


  • Les avocats d'un criminel sont rarement assez artistes pour utiliser, au profit du coupable, la beauté terrible de son acte.


  • Ce que je préférerais, c'est d'aimer la terre comme l'aime la lune et de n'effleurer sa beauté que des yeux.


  • Les auteurs les plus spirituels produisent le plus imperceptible des sourires.


  • Plutôt une inimitié d'un bloc qu'une amitié faite de bois recollé.


  • Des femmes peuvent très bien lier amitié avec un homme ; mais pour la maintenir - il y faut peut-être le concours d'une petite antipathie physique.


  • Tout individu collabore à l’ensemble du cosmos.


  • Ce sont les hommes les plus sensuels qui doivent fuir devant les femmes et torturer leur corps.


  • C'est bien un signe de l'astuce des femmes qu'elles aient su presque partout sa faire entretenir, comme des frelons dans la ruche.


  • La terre est comme la poitrine d'une femme : utile autant qu'agréable.


  • La terre est comme la poitrine d'une femme : utile autant qu'agréable.


  • Un peu de santé par-ci, par-là, c'est pour le malade le meilleur remède.


  • Un peu de santé par-ci, par-là, c'est pour le malade le meilleur remède.


  • La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil.


  • Deviens ce que tu es. Fais ce que toi seul peut faire.


  • Mieux vaut encore rompre le mariage que de se courber et de mentir!


  • La jalousie qui se tait s'accroît dans le silence.


  • Ma seule ambition de poète est de recomposer, de ramener à l'unité, ce qui n'est que fragment, énigme, effroyable hasard.


  • Ce qui se dit la nuit ne voit jamais le jour.


  • La mission suprême de l'art consiste à libérer nos regards des terreurs obsédantes de la nuit, à nous guérir des douleurs convulsives que nous causent nos actes volontaires.


  • La pensée du suicide est une puissante consolation, elle aide à passer plus d'une mauvaise nuit.


  • Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour.


  • La croyance que rien ne change provient soit d'une mauvaise vue, soit d'une mauvaise foi. La première se corrige, la seconde se combat.


  • Qui trop combat le dragon devient dragon lui-même.


  • Les insectes piquent, non par méchanceté, mais parce que, eux aussi, veulent vivre ; il en est de même des critiques ; ils veulent notre sang et non pas notre douleur.


  • Au fond, il n'y a qu'un seul chrétien, et il est mort sur la croix.


  • La résolution chrétienne de considérer le monde comme laid et mauvais a rendu le monde laid et mauvais.


  • Le danseur n'a-t-il pas ses oreilles dans ses orteils !


  • Danses avec les pieds, avec les idées, avec les mots, et dois-je aussi ajouter que l'on doit être capable de danser avec la plume ?


  • Notre caractère est déterminé par l'absence de certaines expériences plus encore que par celles que l'on fait.


  • C'est perdre de sa force que compatir.


  • Ma joie de donner est morte à force de donner.


  • On n'attaque pas seulement pour faire du mal à quelqu'un mais peut-être aussi pour le seul plaisir de prendre conscience de sa force.


  • A force de vouloir rechercher les origines, on devient écrevisse. L'historien voit en arrière ; il finit par croire en arrière.


  • La musique offre aux passions le moyen de jouir d'elles-mêmes.


  • Sans la musique, la vie serait une erreur.


  • Ce qui détruit les illusions, les siennes et celles des autres, la nature le punit avec toute la rigueur d'un tyran.


  • Le poison dont meurt une nature plus faible est un fortifiant pour le fort.