Citation de Confucius

La conscience est la lumière de l'intelligence pour distinguer le bien du mal.

Rien ne sert de parler des choses qui sont déjà accomplies, ni de faire des remontrances sur celles qui sont déjà très avancées, ni de blâmer ce qui est passé.

Nous avons tous deux vies et la deuxième commence lorsque nous nous rendons compte que nous n'en avons qu’une.

La plus grande gloire, ce n’est pas de ne jamais tomber. C’est de se relever à chaque fois qu’on tombe.

Qui ne se préoccupe pas de l’avenir lointain, se condamne aux soucis immédiats.

L’homme supérieur ne se tourmente pas.

Le sage est calme et serein. L’homme de peu est toujours accablé de soucis.

La sincérité est la fin et le commencement de toutes choses. Sans la sincérité, rien n‘existerait.

Agissez envers les autres comme vous aimeriez qu‘ils agissent envers vous.

Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu.

L’efficacité du milieu juste est suprême, mais la plupart des gens en ont perdu la notion depuis longtemps.

Le sage s’applique à être lent dans ses paroles et diligent dans ses actes.

L’homme de bien est celui qui ne prône pas ce qu’il faut faire tant qu’il n’a pas fait ce qu’il prône.

Quand vous rencontrez un homme vertueux, cherchez à l’égaler. Quand vous rencontrez un homme dénué de vertu, examinez vos propres manquements.

Prenez trois hommes au hasard des rues ; ils auront nécessairement quelque chose à m’enseigner. Les qualités de l’un me serviront de modèle, les défauts de l’autre d’avertissement.

L’homme honorable s’attache à observer les lois, et l’homme de peu, à s’attirer des faveurs.

L’expérience est une bougie qui n’éclaire que celui qui la porte.

Plutôt que de maudire les ténèbres, allumons une chandelle, si petite soit-elle.

L’homme sage n’est pas comme un vase ou un instrument qui n’a qu’un usage ; il est apte à tout.

Il n’est pas nécessaire d’aller vite, le tout est de ne pas s’arrêter.

On peut connaître la vertu d’un homme en observant ses défauts.

Le sage a honte de ses défauts, mais n’a pas honte de s’en corriger.

Sans principes communs, ce n’est pas la peine de discuter.

Sous un bon gouvernement, la pauvreté est une honte.

Pour bien gouverner un État, il faut éloigner les beaux parleurs. Ils sont dangereux.

L’honnête homme se base sur la justice, agit selon les rites, s’exprime avec modestie et conclut de bonne foi.

L’honnête homme remonte sa pente, l’homme vulgaire la descend.

L’homme honnête est toujours paisible, égal à lui-même, serein et tranquille. Les gens malhonnêtes vivent dans le trouble, et des inquiétudes secrètes dévorent leur cœur.

Un honnête homme ne prêche rien qu’il n’est d’abord mis en pratique.

Le véritable honnête homme ne prêche pas ce qu’il pratique avant d’avoir pratiqué ce qu’il prêche.

L‘humilité est le fondement solide de toutes les vertus.

Le sage n’accable pas les autres de sa supériorité. Il ne les humilie pas de leur impuissance.

Un bon cœur penche vers la bonté et l’indulgence ; un cœur étroit ne dépasse pas la patience et la modération.

Celui qui est sévère envers lui-même et indulgent envers les autres évite les mécontentements.

L’homme honorable développe ce qui est beau chez autrui et non ce qui est laid. L’homme de peu tient une conduite tout opposée.

L’homme supérieur est celui qui d’abord met ses paroles en pratique et ensuite parle conformément à ses actions.

Celui qui ne connaît pas les mots, ne peut connaître les hommes.

Chercher à plaire aux hommes par des discours étudiés et un extérieur composé est rarement signe de plénitude humaine.

Soyez polis, vous commettrez peu de fautes.

Pour un mot, un homme est réputé sage ; pour un mot, un homme est jugé sot.