Citation Malheurs
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Il meurt lentement celui qui ne change pas de cap lorsqu’il est malheureux au travail ou en amour.
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Nous aimons le futur car c’est plus facile que d’admettre que nous sommes malheureux dans le présent.
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Le malheur ne distingue pas et, dans sa course errante, il se pose aujourd’hui sur l’un et demain sur l’autre.
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Les choses ne contribuent à notre bonheur ou à notre malheur que par la manière dont nous les concevons.
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Tout est affaire de point de vue, et le malheur n’est souvent que le signe d’une fausse interprétation de la vie.
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Le malheur est souvent composé de malentendus, de mésintelligences qui auraient pu facilement être évités.
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Lorsque le malheur touche l’homme, il est plein d’impatience ; lorsque le bonheur l’atteint, il est plein d’insolence.
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Le malheur provient toujours de ce que l’on se sent prisonnier à l’intérieur de sa propre peau, de sa propre cervelle.
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Celui qui se croit malheureux souffre autant que celui qui l’est réellement, mais parfois une caresse suffit pour le guérir.
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Il n’est pas difficile d’être malheureux ou mécontent ; il suffit de s’asseoir, comme fait un prince qui attend qu’on l’amuse.
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Les hommes, n'ayant pu guérir la mort, la misère, l'ignorance, se sont avisés pour se rendre heureux de n'y point penser.
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Ne faites à personne un reproche de son malheur : les chances de la fortune sont communes à tous, et l’avenir est incertain.
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Le malheur a un bord et un fond. On attend que nous soyons au fond pour nous demander comment nous sommes arrivés au bord.
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Un malheur qui arrive ! c’est peut-être une bénédiction non encore reconnue comme telle. Ne dit-on pas « À quelque chose malheur est bon ? »
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Tous ceux qui sont malheureux le sont pour avoir cherché leur propre bonheur ; tous ceux qui sont heureux le sont pour avoir cherché le bonheur d’autrui.
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Parce que les conséquences de leurs façons de penser et d’agir ne sont pas immédiates, les humains discernent rarement ce qui a causé leurs malheurs.
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L'amitié ne rend pas le malheur plus léger, mais en se faisant présence et dévouement, elle permet d'en partager le poids, et ouvre les portes de l'apaisement.
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Le malheur s’empare de chacun de nous parce que nous nous prenons pour le centre du monde, car nous avons la misérable conviction d’être seuls à souffrir l’insoutenable.
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Personne ne doit et ne peut dévoiler les mystères de l’existence humaine ; il y a sur le chemin de la vie des pierres contre lesquelles tout voyageur vient heurter. C’est au poète de les signaler.
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