Citation de Philippe Besson

Je t'écris parce que t'écrire, c'est être avec toi.

Aimer, ce n'est pas emprunter des routes toutes tracées et balisées. C'est avancer en funambule au-dessus de précipices et savoir qu'il y a quelqu'un au bout qui dit d'une voix douce et calme : avance, continue d'avancer, n'aie pas peur, tu vas y arriver.

Il est des silences, parfois, qui blessent plus sûrement qu'une injure.

Les lieux sont aussi des liens. Et ils sont notre mémoire.

On ne s'abstrait pas aisément de sa jeunesse.

Les hommes fuient comme la peste les femmes malheureuses qui se moquent d'eux.

L'absence jette une certaine amertume qui serre le cœur.

Aimer, ce n'est pas emprunter des routes toutes tracées et balisées. C'est avancer en funambule au-dessus de précipices et savoir qu'il y a quelqu'un au bout qui dit d'une voix douce et calme : avance, continue d'avancer, n'aie pas peur, tu vas y arriver,

Les gens qui ne sont pas capables de jeter, qui hésitent à se séparer de vieilleries qui ne leur sont d'aucune utilité sont d'incurables nostalgiques que le passé entrave.

Que le temps passe plus vite, quand l'ennui l'étire.

Je veux être dans la joie au risque de la peine.