Citation de Pierre Baillargeon

On se réconcilie dans son coeur avec un esprit supérieur au sien par le biais d'une divergence d'opinion.

Mettez un peu de logique dans votre conversation, vous passerez pour un esprit de contradiction.

La guerre m'est odieuse. Elle exalte les faibles d'esprit. C'est le règne des fanatiques, des menteurs, des lâches, des paresseux, des hypocrites.

On se réconcilie dans son coeur avec un esprit supérieur au sien par le biais d'une divergence d'opinion.

Le baiser, la bouche sur la bouche, est le signe le plus expressif du silence.

La guerre m'est odieuse. Elle exalte les faibles d'esprit. C'est le règne des fanatiques, des menteurs, des lâches, des paresseux, des hypocrites.

Il n'y a pas de morale sans liberté.

Une autobiographie sérieuse devrait commencer par une théorie de la mémoire.

Quel est le principal but du mariage, si ce n'est d'exercer sa vertu ?

Le mariage est une institution de charité.

Celui qui donne un conseil ne fait que céder au plaisir de faire une confidence.

Vieillir, c'est voir tomber une à une les barrières de la famille, de la société, de la religion, mais toujours trop tard.

La solitude est le principal avantage que procure la société.

Celui qui lit trop ne comprend rien ; les livres l'empêchent de vivre au lieu de lui apprendre à bien vivre. Mais l'homme d'un seul livre : c'est un ignorant.

La maxime seule est morale. Elle seule a pour excuse la brièveté. Elle seule enfin veut être le dernier mot.

Il n'y a pas de morale sans liberté.

La patience est ce qui ressemble le plus à l'indifférence de la mort, et la mort seule apporte une solution aux problèmes de vivre.

Les hommes écrivent pour se consoler des autres ; les femmes écrivent pour se consoler d'elles-mêmes.

Les femmes n'ont d'idées qu'en amour.

Tant qu'un critique ne prend pas parti, il est historien.

L'influence est une nourriture.

La guerre m'est odieuse. Elle exalte les faibles d'esprit. C'est le règne des fanatiques, des menteurs, des lâches, des paresseux, des hypocrites.

L'influence d'un livre ne dure guère plus longtemps que sa lecture.

Une forme inférieure du respect, la peur. C'est tout le respect qu'on peut inspirer à la bête.

Une forme inférieure du respect, la peur. C'est tout le respect qu'on peut inspirer à la bête.

Le charme du passé, c'est l'oubli.

La conversation est bonne, elle est même nécessaire aux idées, car il faut leur faire prendre l’air.

Les mots inutiles sont des moments perdus.

Tes mots cachent l’inexistence de tes pensées.

La pire drogue, c’est l’amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme.